: « Car nous voulons que lorsque les savants auront transformé le monde des vivants en un milieu artificiel, il existe encore, au Zaïre, dernier refuge de l’humain, une nature à l’état pur ». 35 ans, après, Garamba, continue de donner un sens à ce souhait exprimé pour la postérité, a constaté l’envoyée spéciale de Radio Okapi, Cynthia Bashizi Nabizana.
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